Zooms

"Pourquoi j'ai voulu tuer Chirac !" - Le Zoom avec Maxime Brunerie

Publiée le 09/05/2019
Maxime Brunerie n'est pas que l'auteur de la tentative manquée d'assassinat sur le président de la République Jacques Chirac lors du défilé du 14 juillet 2002. Il cherche à nous le faire découvrir à travers un nouveau livre-témoignage :"Même pas mal !". Pour TV Libertés, l'ancien militant radical explique les raisons de son geste, ses sept années de prison et son parcours - souvent chaotique - de reconstruction. En forme de provocation, il s'écrie :"Encore moi Maxime Brunerie pour vous servir : ex "nazillon", ex déséquilibré, ex taulard. Mais l'entretien à TV Libertés présente un homme beaucoup plus complexe. Un document à ne pas manquer.

Zoom - Philippe Pichot-Bravard : Wokisme, écologisme, transhumanisme : les nouveaux totalitarismes ?

Publiée le 15/09/2025

Fruit de la modernité, le totalitarisme est une forme de régime récente qui se distingue par sa finalité : doter l’Etat d’un pouvoir sans limite afin de faire table du passé et de construire un monde et un homme nouveaux. Cet homme transformé est le but ultime de toutes les révolutions totalitaires depuis 1793, qu’il s’agisse de l’expérience jacobine française, de l’expérience communiste et de l’expérience national-socialiste allemande. Après le procès de Nuremberg et l’effondrement du communisme en Europe orientale, le totalitarisme semble durablement disqualifié. L’ambition d’une transformation de la société et de l’homme, fortifiée par la mentalité transgressive dominante, ne cesse pourtant de se renforcer dans nos démocraties libérales occidentales, servie par l’emprise de plus en plus étouffante exercée par l’État sur la société et par les mécanismes de conformisme intellectuel, dont le wokisme est l’expression la plus récente et la plus radicale. A l’heure du transhumanisme, nouvel eugénisme, le péril totalitaire reste entier. Philippe Pichot-Bravard, professeur de droit à l'Université, publie "L'homme transformé, but des révolutions totalitaires" chez Via Romana.